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MEMOIRES HAMADI
- Le chant du vent, du sable et de l’eau -


Hamadi Ahmed El-Hadj


TROISIEME PARTIE : Mariage et la naissance des enfants (1953 - 1962)


Chapitre 12 : Ma jeunesse I (1953 E1955 : 16 E18 ans)

Formation professionnelle chez les Pères blancs

   Le début de la nouvelle année scolaire allait bientôt arriver. Émanant du curEdes Pères blancs, le directeur du centre professionnel de Colomb-Béchar, le révérend Krotoff, le capitaine a reçu un avis favorable Emon sujet. Je devais participer Eun examen d’entrée. Il m’a informEde l’affaire. J’ai voyagEEdestination de cette ville. Puis EKénadsa oEje devais participer au concours de recrutement. Le hasard était avec moi. J’ai réussi l’écrit. Deux jours après, l’examen pratique pour voir l’habiletEmanuelle. J’ai réussi également. Le classement m’a permis d’être dans la branche d’ajusteur mécanicien. C’était l’année scolaire 1953/1954. Je devais poursuivre cette formation pendant quinze mois environ.
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Chapitre 13 : Ma jeunesse II(1953 E1955 : 16 E18 ans)

Vengence sur le conducteur méchant

   Dès six heures de matin, me voilEencore de nouveau Ebord d’un camion, perchEsur des marchandises qui dépassaient les ridelles du plateau. Cette fois-ci je me trouvais seul derrière. Le graisseur et un autre côtoyaient le chauffeur, le très gros conducteur connu sous la dénomination Larbi Loumaskri. Après un long déplacement et c’était déjEl’après-midi, après avoir quittEla place oEon s’est reposEpour prendre un casse-croûte, presque au même endroit oEj’avais étEdélaissE on a aperçu lointain au sud une poussière se levant vers le ciel. Notre camion a ralenti puis s’est arrêtE Le chauffeur est descendu, grimpEau côtEdu plateau et s’est adressEEmoi.
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Chapitre 14 : Ma jeunesse III (1953 E1955 : 16 E18 ans)

Lamkahlia

   Après plusieurs semaines, j’ai demandEaux gens qui allaient EAdrar de s’informer sur ma valise Ema place. Mais aucune nouvelle. Même muni du diplôme de l’ajusteur mécanicien, El’époque EAoulef il n’y avait aucune industrie ni structure qui me permettait de trouver un emploi. Je suis restEEAoulef durant plusieurs mois sans travail. Je me suis engagE pendant tout ce temps, Eapprendre la grammaire arabe Ela medersa de Cheikh Bay. Cet enseignement ne remplissait qu’une heure par jour, Eraison de trois fois par semaine. C’était vraiment minime. Abdelkader Bakadir et Mohammed Hamouda y étaient mes camarades. Pendant les derniers mois de l’année 1955, cette inactivitEme laissait tomber peu Epeu dans l’oisivetE
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Chapitre 15 : Cacophonie autour du mariage I (1957 E1959 : 20 E22 ans)

DésignEcomme interprète du capitaine

   Le capitaine chef du poste militaire et maire désignEpour la commune d’Aoulef a trouvEen moi une certaine potentialitEEexploiter. Il m’a choisi pour faire assurer certains services administratifs parallèlement Emes activités agricoles. J’étais alors chargEdu bureau des recensements des statistiques et de la traduction. Les courriers venant des caEs étaient écrits en arabe alors ils avaient besoin de traduction en français avant de les remettre au chef de poste et vice versa. En plus de tout cela, j’ai étEélu président du conseil du foyer rural de la jeunesse d’Aoulef. Tous les sports s’y pratiquaient par de nombreux amateurs mais le football était prépondérant. J’avais auparavant participEEl’équipe de foot lors de mon stage EColomb-Béchar auprès des Pères blancs.
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Chapitre 16 : Cacophonie autour du mariage II (1957 E1959 : 22 ans)

Bourgeon de la nouvelle époque

   C’est le 11 novembre 1959. Ce jour-lEcorrespondait El’anniversaire d’une grande fête nationale française. A l’époque, nous portions tous la nationalitEfrançaise. De nombreux français nés sur le sol français étaient invités Epartager avec nous le plaisir des festivités. Le capitaine, chef du poste et son épouse, tout comme le médecin-lieutenant militaire et son épouse, nous ont honorEde leur présence. Ils ont l’air heureux d’être parmi nous. Ils étaient d’autant joyeux de voir le commencement de l’abolition du racisme entre des êtres qui pourtant embrassaient la même religion. Au cours d’un petit discours, le capitaine a racontE:
   «L’Algérie va peut-être dans le futur être séparée de la France, c’est tout Efait dommage. Je ne suis pas pour cette séparation mais si les circonstances l’imposent on n’y peut rien faire.
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Chapitre 17 : Vers la fin de l’Algérie française (1960 E1961 : 23 E24 ans)

Assistance sociale

   Étant secrétaire auprès du capitaine chef du poste militaire et commandant de la place d’arme, je faisais de mon mieux. Le capitaine m’estimait beaucoup et avait bien confiance en moi. Cette fonction me laissait beaucoup plus proche des français. Me mettre au plus près de cette communautEétait le seul moyen qui me permettait la répétition de la langue française que je n’entendais pas parler dans mon milieu local. Je sentais m’enrichir de l’esprit en côtoyant un milieu de personnalités cultivées. Je faisais attention pour ne rien laisser échapper de leur discussion. J’essayais de capter tout ce qui pourrait être utile. Ma curiositEme faisait leur demander des explications de ce dont je n’arrivais pas Ecomprendre et même si cela interrompait la discussion.
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Chapitre 18 : L' Algérie indépendante (1960 E1962 : 23 E25 ans)

Premier enfant

   La grossesse de Messaouda s’est développée normalement. Elle était suivie de près par le médecin militaire de l’infirmerie d’Aoulef. Le 24 septembre 1960, quand je suis rentrEdu travail, Messaouda m’a déclarEqu’elle avait mal aigu au ventre. Je ne m’en suis pas tellement inquiétEcar son abdomen ne se montrait pas tellement gros. Je n’ai appris que plus tard que la première grossesse ne se manifestait pas tellement gonflée. J’ai essayEde la calmer mais elle ne pouvait plus supporter la douleur. Vers onze heures du soir, la pitiEne me laissait plus de repos Emes sens, je l’ai accompagnée Epied El’hôpital qui n’était qu’à 200 m de notre habitation. L’infirmier de garde est sorti Epied pour chercher le médecin qui habitait E400 m de lEet lui-même est venu Epied. Il a examinEl’état de Messaouda.
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