Network of those, Japanese and Algerians, who work together for the friendship and cooperation between
the two countries and two peoples
|  Japan Algeria Center FAQ  |  Commentaires  |   
Les Nouvelles
Informations
Ambassade d' Algerie
Series
Japon-Algerie
Nouveauxvenus
Les Nouvelles
L' Algerie et moi
Le Japon et moi
Ouvrages-articles
Thèse
Liens
Commentaires



MEMOIRES HAMADI
- Le chant du vent, du sable et de l’eau -


Hamadi Ahmed El-Hadj


  La vie d’un oasien du Tidikelt ouest dans l’extrême sud algérien.
Il raconte ce qu’il a vu, ce qu’il a entendu et ce qu’il a vécu.
Il est le petit-fils de "l’esclave " Hamadi.






(Pour une image plus grande, cliquez dessus)


PREMIERE PARTIE : Racine de la famille (les années 1880 E1949 environ)

Chapitre 1 : L’époque du grand-père (les années 1880 Eles années 1900)

Chapitre 2 : Des enfants aux petits-enfants de Hamadi (1910 E1940 environ)

Chapitre 3 : Mon enfance (1939 E1945 : 2 E8 ans)

Chapitre 4 :Mon adolescence I (1947 E1949 environ : 10 E12 ans)

Chapitre 5 :Mon adolescence II (1947 E1949 environ : 10 E12 ans)

Chapitre 6 :Mon adolescence III (1947 E1949 environ : 10 E12 ans)


DEUXIEME PARTIE : Rencontre du monde extérieur (1949 E1953)

Chapitre 7 :Scolarisation tardive I (1949-1952 : 12-15 ans)

Chapitre 8 :Scolarisation tardive II (1952 étE: 15ans)

Chapitre 9 :Scolarisation tardive III (1952 étE: 15 ans)

Chapitre 10 :Scolarisation tardive IV (1952 étE: 15ans)

Chapitre 11 :Scolarisation tardive V (étE1952EétE1953 :15-16 ans)


TROISIEME PARTIE : Mariage et la naissance des enfants (1953 - 1962)

Chapitre 12 :Ma jeunesse I (1953 E1955 : 16 E18 ans)

Chapitre 13 :Ma jeunesse II (1953 E1955 : 16 E18 ans)

Chapitre 14 :Ma jeunesse III (1953 E1955 : 16 E18 ans)

Chapitre 15 :Cacophonie autour du mariage I (1957 E1959 : 20 E22 ans)

Chapitre 16 :Cacophonie autour du mariage II (1957 E1959 : 22 ans)

Chapitre 17 :Vers la fin de l’Algérie française (1960 E1961 : 23 E24 ans)

Chapitre 18 :L' Algérie indépendante (1960 E1962 : 23 E25 ans)


QUATRIEME PARTIE : En tant que professeur de l’Algérie indépendante (1962 - 1981)

Chapitre 19 :Le long chemin devant le jeune pays (1962-1973 environ : 25-36 ans)

Chapitre 20 :Inondation ETidikelt I (1965 : 28 ans)

Chapitre 21 :Inondation ETidikelt I (1965 : 28 ans)

Chapitre 22 :En tant qu’enseignant ainsi qu’élu (1969 E1970 environ : 32- 37 ans)

Chapitre 23 :Mon fils Aboubekeur I (1974 E1975 : 37 E38 ans)

Chapitre 24 :Mon fils Aboubekeur II (1974 E1975 : 37 E38 ans)

Chapitre 25 :La paix et mes pensées (1974 E1981 : 37- 44 ans)

Chapitre 26 :Anecdotes : Communications reliant Aoulef avec l’extérieur



PREAMBULE

   Le potentiel de motivation est semEen moi par la demande de certains de mes anciens élèves, arrosEpar l’incitation continuelle que le Professeur Kobori Iwao n’a cessEde me pousser Ele faire ; germEpar l’encouragement que le Professeur Benkhalifa Abderrahmane m’inspireEais l’honneur revient au Professeur Hugot Henri et Madame (El’époque enseignants El’école primaire EAoulef, début de l’année scolaire 1949/1950 E1952/1953 ) qui m’ont tenu par la main pour faire les premiers pas et qui ont modelEmon âme ; Emon maû‘re d’école coranique Taleb Mohammed Abdallah Boukadi ; EM. Mohammed El-Farah, infirmier El’infirmerie d’Aoulef, qui m’avait le premier, initiEl’alphabet latin sur la tablette de l’école coranique, EM. Ali Sayah secrétaire interprète auprès du Chef de Poste Militaire Administrateur de la Place d’Armes d’Aoulef , qui a contribuEEsensibiliser ma mère pour me laisser continuer Ealler El’école, ECheikh Bay qui m’avait donnEles premières notions de grammaire arabe. Et surtout Emon père qui n’avait, pendant toute sa vie cessEde détester l’amertume de l’analphabétisme dont il était victime et qui a insistE coûte que coûte pour m’inscrire El’école laEue, quoi que mon âge était déjEavancE Sans cette initiative, je n’aurais pas étEarrachEEl’ignorance pour ne jamais bénéficier de la faveur de participer au convoi de l’écrit.
   Étant autodidacte, encore illettrEEquatorze ans, je me sens toujours incapable de pouvoir m’exprimer comme il faut Etravers la langue française. Si je prie tous ceux qui m’accorderont l’honneur El’occasion de me lire, de bien vouloir tenir compte de ma faillibilitE C’est parce qu’on a beau être, on n’arrive jamais Emaû‘riser parfaitement une langue qui n’est pas sa langue maternelle. Pour cela je trouve des difficultés Einspirer, dans l’esprit de mon interlocuteur, E100 pour 100 le message que j’ai l’ardent désir de transmettre. Cette imprégnation précitée n’est qu’une excuse avancée au lecteur qui découvrira, certainement, des étourderies. Nul n’est infaillible ! On a des défauts dans la manière de raisonner on s’en rend bien compte ; mais souvent quand c’est trop tard.

HAMADI Ahmed El-Hadj

 

Commentaires